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Mouvement pour l'expression d'un sentiment métaphysique

Mouvement pour l'expression d'un sentiment métaphysique
  • Ce blog présente les créations d'individus souffrant d'incontinence métaphysique (et, suivant les conseils avisés d'un publiciste: des lycéennes exposant leurs premières photographies érotiques, une présentation gratuite de strings, et caetera.)
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Archives
7 novembre 2006

poemes métaphysiques

Bi box ça caracole et squizz le styx

En sus, ça pulse.

Poussières d'archives

Le Blizard plane

Au loin, le fenec dans la savane

Tombé dans la liche

En option, peu fiable

J'exerce au comptoir

Je dézingue le zinc

Je lâche du pourliche

Et j'embraye

Chanmax

Ravive la trulle, c'est le lux

Je déjauge et j'embraye, à l'aise

T'as le slip qui colle mon pote ?

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8 juin 2006

lache le stock de crèpes suzette et mache un bambino , touche ton blog et les slips s'useront.
24 mai 2006

"L'imaginaire, c'est l'image !"

"L'imaginaire, c'est l'image !"

J'ai entendu cette phrase d'un homme qui expliquait qu'aujourd'hui, l'imaginaire des enfants passait non plus par les livres, mais par la télé. Les enfants ne lisant plus, voire très peu, et la télé captant souvant plusieurs heures par jour l'attention d'un enfant....

L'imaginaire des enfants est donc forgé par la télé, télé qui elle-même, renvoie une image déformée de la réalité... Imaginaire nourri d'images télé. Imaginaire qui se construit à partir d'images reflétant une réalité déformée.... Je m'inquiète de l'état de leur imaginaire. Je m'interroge sur ce que seront les enfants dont l'imaginaire a été forgé par la télé...

"Et sans doute notre temps...préfère l'image à la chose, la copie à l'original, la représentation à la réalité, l'apparence à l'être...Ce qui est sacré pour lui, ce n'est qu'illusion, mais ce qui est profane, c'est la vérité".

                                                                                                                               Feuerbach

"Le spectacle n'est pas un ensemble d'images, mais un rapport social entre des personnes, médiatisé par des images".

"Dans le monde réellement renversé, le vrai est un moment du faux".

                                                                                                                             Guy Debord

15 mai 2006

120
15 mai 2006

banc_des_mensonges
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13 mai 2006

Hommage à feu Serge Gainsbourg, grand poète contemporain

Qu'est-ce qui t'a pris bordel de casser la cabane

De ce panoupanou puis sortir ton canif

Lui ouvrir le bide au primitif

Qui débarquait de sa savane

La nostalgie camarade

Qu'est-ce qui t'a fait prendre cette fille diaphane

Contre son gré et sous ses griffes

Des regrets tu réponds négatif

Mieux encore tu ricanes

La nostalgie camarade

Qu'est-ce qui te prend au sucre de canne

De te klaxonner la gueule sombrer sous les récifs

De ta mémoire et revoir ton passif

En respirant la colophane

La nostalgie camarade

Il s'en passe des choses sous ton crâne

Rasé c'est plein de tristesse et de kif

Tu te vois encore en tenue léopard bourrée d'explosif

Sauter de ton aéroplane

La nostalgie camarade

La nostalgie camarade

12 mai 2006

Vous êtes aigri ? amer ? désabusé ? déprimé ?

Vous êtes aigri ? amer ? désabusé ? déprimé ? chagrin ? préoccupé ? neurasthénique ? angoissé ? apathique ? aphasique ? désespéré ? Vous rêvez quelquefois d'en finir ? Un seul remède à vos soucis : la HERSE !
12 mai 2006

la_poutine_de_cagnes__a8664
6 mai 2006

Message publicitaire

Le blog du MESM recevant assez peu de visites, nous avons fait appel aux conseils d'un publiciste professionnel, qui nous a conseillé d'ajouter à notre espace un message contenant les éléments suivants : strings divers et variés photographiés par un artiste amateur, jeunes filles nues, lycéennes exposant leurs premières photographies érotiques, club de rencontre pour soirées échangistes, l'une de mes copines photographiée sous la douche lors de nos vacances à Ibiza, ainsi qu'une autre embrassant la première sur la plage. Pauvre MESM, soumis aux difficiles réalités publicitaires de son époque !
4 mai 2006

Le MESM : un mouvement humanitaire

La tempérance et l'abstinence sont les deux grands fléaux des sociétés modernes. Ne tournant pas le dos aux grands problèmes humanitaires de son époque, le MESM a décidé d'agir.
Nous annonçons très officiellement la création d'une Ligue de Lutte contre la Tempérance, laquelle sera chargée d'organiser des Réunions d'Abstinents Anonymes.
Et, comme disent les philosophes : IN VINASSE VERITO !

29 avril 2006

Le Métaphysitron

ANNONCE OFFICIELLE Le MESM présentera un appareil proprement révolutionnaire au prochain concours Lépine : le METAPHYSITRON. Cette machine permet de produire à volonté des sentiments métaphysiques. En voici le principe. Le METAPHYSITRON se compose de trois parties. La partie inférieure s'appelle le lit ; la partie supérieure : la dessinatrice ; la partie médiane : la herse. Le lit et la dessinatrice font à peu près la même taille : trois mètres de long, pour deux de large. Ils ressemblent à deux coffres et sont de couleur sombre. La dessinatrice est placée à environ deux mètres au-dessus du lit. Les deux sont reliés dans les coins par deux tiges de laiton. Entre les deux coffres est suspendue la herse, maintenue par un ruban d'acier. L'individu en mal de sentiment métaphysique s'allonge à plat ventre sur le lit, lequel est intégralement recouvert d'une couche d'ouate. Plusieurs courroies permettent de lui attacher la tête, les mains et les pieds. À la tête du lit, se trouve un petit tampon de feutre, qu'on peut facilement régler de telle sorte qu'il entre juste dans la bouche. Il est destiné à empécher l'individu de crier et de se mordre la langue. Il est naturellement obligé de prendre le feutre dans la bouche, sinon la courroie du cou lui briserait la nuque. Aussi bien le lit que la dessinatrice ont leur propre batterie électrique ; le lit en a besoin pour lui-même, la dessinatrice pour la herse. Dès que l'individu est ligoté, on met le lit en mouvement. Il se produit alors de minuscules vibrations très rapides à la fois de gauche à droite et de bas en haut, qui font trembler le lit. Tous les mouvements sont extrêmement calculés ; ils doivent être en effet rigoureusement réglés sur les mouvements de la herse, sur laquelle sont disposées cent-quatre-vingt-sept aiguilles de longueurs différentes. Au moyen de la herse, on inscrit sur le corps de l'individu un slogan du genre : JE SOUFFRE DONC JE SUIS, mais que l'individu ne connaît pas. La herse correspond exactement à la forme du corps. Une petite pointe est prévue tout spécialement pour la tête. Quand l'individu est entendu sur le lit et qu'on a mis en route les vibrations de ce dernier, on abaisse la herse sur le corps. Elle se place d'elle-même de telle manière que les pointes ne font que le frôler. En vibrant, elle enfonce ses pointes dans le corps, que le lit, de son côté, fait vibrer lui-aussi. Le herse présente deux sortes d'aiguilles diversement disposées. Toute aiguille longue est couplée avec une aiguille courte. l'aiguille longue écrit et la courte projette de l'eau pour laver le sang et laisser touours l'inscription lisible. L'eau ensanglantée s'échappe ensuite par de petits canaux, pour aboutir au conduit principal, dont le tuyau d'évacuation se termine dans une fosse. Bien entendu, c'est dans la dessinatrice que se trouve le mécanisme qui commande le mouvement de la herse ; et ce mécanisme est réglé en fonction du dessin prévu pour tracer le slogan. L'inscription s'effectue dans un délai moyen d'une douzaine d'heures. Un tournant, sur lequel nous reviendrons un peu plus loin, est calculé pour se produire à la sixième heure. Il faut donc que de nombreuses, très nombreuses fioritures entourent l'inscription proprement dite ; la véritable inscription ne concerne sur le corps qu'une étroite ceinture ; le reste du corps est réservé aux fioritures. Quand la herse a terminé la première inscription sur le dos de l'individu, la couche d'ouate se met à rouler et tourne lentement le corps sur le côté pour offrir un nouvel espace à la herse. pendant ce temps-là, les endroits à vif viennent se poser sur l'ouate, qui, grâce à sa préparation spéciale, arrête immédiatement l'écoulement du sang et les prépare à recevoir une inscription plus profonde. Les pointes qui se trouvent sur le bord de la herse arrachent alors l'ouate des plaies et, tandis qu'on fait à nouveau tourner le corps, l'ouate est jetée dans la fosse et la herse peut se remettre au travail. Elle continue ainsi à écrire, toujours plus profondément, douze heures durant. Pendant les six premières heures, l'individu continue à vivre à peu près comme par le passé, à ceci près qu'il éprouve un sentiment métaphysique - c'est-à-dire une conscience du caractère tragique de l'existence humaine - nettement plus intense. Au bout de deux heures, on retire le feutre, car l'individu n'a plus la force de crier. À la tête du lit, dans une écuelle chauffée électriquement, on met du riz, dont l'individu, quand il en a envie, peut prendre ce qu'il parvient à attraper avec la langue. Personne, comme nous avons pu le remarquer, ne laisse jamais passer cette occasion. C'est seulement à la sixième heure qu'il perd le goût de la nourriture. Il est rare que l'individu avale la dernière bouchée, il se contente de la retourner dans sa bouche, puis il la crache dans la fosse. Mais quelle paix s'établit alors sur son visage, à la sixième heure ! L'esprit vient alors aux plus stupides. Cela commence autour des yeux, puis s'étend à l'entour. À cet instant précis, tous les spectateurs éprouvent généralement l'envie de prendre la place de l'individu qui se trouve sous la herse. Il ne se passe cependant rien de particulier, l'individu commence seulement à déchiffrer l'inscription, il tend les lèvres comme s'il écoutait. Il la déchiffre maintenant avec ses plaies. Ce n'est tout de même pas un mince travail et il faut encore six heures pour l'accomplir. À la douzième heure, la herse l'embroche complètement et le jette bruyamment dans la fosse où il s'effondre bruyamment sur l'eau sanguinolente et sur l'ouate. Le METAPHYSITRON a fait son oeuvre.
27 avril 2006

Il faut y aller quoi ! Arthur Schope

Il faut y aller quoi ! Arthur Schopenhauer.
27 avril 2006

Vivre c'est extrêmement mauvais pour la santé.

Vivre c'est extrêmement mauvais pour la santé. Rony Orlhiac.
26 avril 2006

hommage à Vitkivitch

transfiguration
25 avril 2006

logo

logo_mesm
13 avril 2006

Et alors ?

Nous n'existons pas.
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